Allongé dans mon lit, les yeux grands ouverts
Les derniers rayons du soleil percent la surface
Les poissons dansent au-dessus de moi
Le confort, la douceur des draps
Isolé dans ma bulle, le silence est roi
Au bout du ponton, c’est la mer
L’océan qui s’étend à perte de vue
Entre rêve et veille, l’esprit s’égare
S’agrippent dans mes pensées quelques récits de mer
Et sèment le doute dans la nuit
Au fond de ces eaux troubles
Des formes s’agitent et tremblent
Belles comme des lumières sous la pluie