L’espace du bateau ne constitue en effet pas une clôture définissant l’identité commune de ceux qui y sont, mais une surface commune sur laquelle s’écrivent des trajectoires particulières. Ce désir d’exil reste en partie mystérieux et irrésolu, on en a tous envie de fois même le plus sociable d’entre nous.
Cette confrontation et médiation à la pure nature et à une expérience physique et brute, c’est aussi sur cette dernière introspection que je quitte le bateau la ou je l’ai pris au premier jour, c’est bizarre c’est le même lieu mais pourtant les sensations sont complètement différentes, cela me fit un bien fou j’en avais vraiment besoin, une expérience qui n’a rien à voir avec celle d’un hôtel normal mais pourtant je la referai sans hésiter, voir même pour de vrai.