Cette semaine, je suis reparti dans ma famille afin de me reposer, profiter d’eux, participer à un déménagement et mettre à jour différents documents pour l’année à venir.
Un point important sur ce qui se passe en France :
La France a prévu de passer en mode « déconfinement ». On a tous hâte d’en sortir, ça, c’est certain ! Nous allons bientôt pouvoir reprendre des activités qui étaient alors impraticables, depuis trop longtemps. J’ai hâte pour ma part, d’aller au théâtre, à l’opéra, au cinéma et reprendre la piscine.
Bien que cette pandémie, nous a fait perdre des proches, nous a enfermé, nous a attristé, rendu dingue, rendu joyeux, mis au pied du mur et bien d’autres choses.
Elle nous a montré, d’une certaine manière, ce qui est important et essentiel dans notre vie. Cela peut être notre famille, d’avoir des espaces verts autour de nous, de faire du sport, de prendre soin de soi, de ralentir, de changer de travail, de penser aux autres, de s’aimer…
Revenons maintenant 1 an plus tôt, alors que nos grands parents et personnes âgées étaient enfermés à double tour, loin de leur famille, de toutes rencontres … Cela devenait insoutenable et terrible pour leur santé d’être si loin de leurs proches.
BubbleTree EHPAD avait cependant trouvé une solution afin d’apporter un soutien psychologique à nos ainés. Une bulle pouvant accueillir deux parties d’une famille avec les restrictions en vigueur, tout en proposant un espace sensible où la dimension tactile est au centre de l’expérience. Le volume d’air n’est pas le même des deux côtés, ainsi que les sas d’entrées, protégeant ainsi les personnes de possibles contaminations. La paroi séparant ces familles, est étanche et garantie la distanciation bactériologique.
C’est vraiment une idée fantastique qui a pu apporter réconfort et soutien. Je n’en parle que maintenant lors de cette brève rétrospective de cette année, si particulière. Bien sûr tout n’est pas encore terminé mais si on se serre tous les coudes et que l’on est respectueux et attentionné auprès des personnes autour de nous, je pense que l’on peut aller que de l’avant.